L'île donne l'impression de «jungle». D'ailleurs, un bateau québécois a dû se débarrasser d'un serpent qui avait grimpé à son bord. Durant la nuit, il a tellement plu que les capitaines (Michel et Gervais) ont dû faire la vigie pendant plusieurs heures, sous les parapluies, pour s'assurer que les bateaux ne se frappent pas. Le problème étant dû au fait que la rivière qui se jette dans la baie s'est gonflée de pluie et a déversé des torrents d'eau poussant ainsi les bateaux les uns sur les autres.
À la première heure le lendemain, nous avons quitté St-Vincent pour nous rendre à Bequia, sous la pluie...encore! La couverture nuageuse devenant de plus en plus mince, nous avons pu nous balader pour visiter un peu.
Voici l'endroit d'où je vous écrit présentement. Ici, internet n'est pas facile à trouver. En fait, c'est facile si on veut payer... mais ce n'est pas donné!
D'un côté de la baie, un petit trottoir sur lequel on retrouve restaurants et boutiques de plongée longe la rive. Il y a plusieurs quais pour laisser notre dinghy et partir à pied pour explorer.
À l'extrémité du trottoir, on se retrouve dans le village qui a un certain charme mais que nous évitons à cause de la grande quantité de quêteux qui y circulent. Bien que l'on nous ait dit que c'est très sécuritaire ici, on ne sent pas très à l'aise au travers de tous ces gens qui flânent et nous abordent.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire